vendredi 11 septembre 2020

Les deux 11 septembre qui firent histoire





Il y a 47 ans, le 11 septembre 1973, la Moneda, Parlement du gouvernement chilien, est bombardée par des avions de chasse. Le président, Salvador Allende, l’ennemi juré de Washington et de l’oligarchie chilienne, s’y trouve présent, comme il en a l’habitude tous les matins. Il a vite réalisé  qu’il s’agissait d’un coup d’État militaire, mené par le général en chef de l’armée, Augusto Pinochet. Ce dernier, traître à son gouvernement et à son peuple, s’est mis au service de l’empire, dirigé, à l’époque, par le président Richard Nixon avec comme conseiller de premier plan Henry Kissinger, alors Secrétaire d’État.



Devant les faits, Allende prend contact avec une radio locale pour y adresser ce qui Sera son dernier message au Peuple chilien. Je vous invite à lire son  message, dans le lien qui suit, de Salvador Allende à son peuple. Ses dernières paroles prophétisent des temps nouveaux où les peuples pourront marcher sur les sentiers de la paix et de la justice.


 "Travailleurs de ma patrie, j’ai foi en le Chili et en son destin. D’autres hommes surmonteront ce moment gris et amer où la trahison prétend s’imposer. N’oubliez jamais que bientôt s’ouvriront à nouveau les larges avenues qu’empruntera l’homme libre pour bâtir une société meilleure.»

Il y a 20 ans, un autre 11 septembre vient semer la terreur, cette fois, au cœur de New York. Des avions passagers viennent frapper de plein fouet les deux Tours jumelles où se trouvent présents plus de 3000 travailleurs et travailleuses. Tous et toutes y laisseront leur vie. Un troisième avion ou une fusée se serait également dirigé sur le Pentagone. 

Les auteurs de ces attentats, au cœur de Manhattan, ont vite été identifiés à un groupe de terroristes, ayant à leur tête, Oussama Ben Ladin. Avec les années et les multiples analyses effectuées par des spécialistes, couvrant plusieurs spécialités, cette certitude s’est progressivement atténuée. Le minage préalable des Tours met en cause l’affirmation que l’écroulement des Tours est dû à l’impact des deux avions. 

Il y a de nombreuses analyses qui contestent très fortement l’hypothèse d’une intervention terroriste sous la gouverne d’Oussama Ben Laden. Plusieurs y voient plutôt une intervention de haut niveau gouvernemental, mettant sur le compte de terroristes ces attaques du 11 septembre 2001. De quoi motiver le peuple au soutien de la lutte à mener contre les terroristes et, tout particulièrement, contre Saddam Hussein, président d’Irak. Il ne faut pas oublier que Bush père avait mené une guerre féroce contre l’Irak et qu’il en était sorti sans atteindre ses objectifs. Comme par coïncidence, le terrorisme fleurit dans les pays où le pétrole se fait le plus alléchant. De toute évidence pour prendre en main tout ce pétrole, il faut vaincre le terrorisme qui se fait toujours de plus en plus violent.

Les seuls à connaître le fond de l’histoire de ce 11 septembre 2001 ne peuvent être que les grands responsables des politiques et engagements des États-Unis de cette époque. Dick Cheney, GW. Bush, fils, Donald Rumsfeld et autres principaux collaborateurs. Oussama Ben Laden est au fond de l’Océan et les 19 terroristes identifiés comme étant les auteurs de cet attentat sont tous morts. Ils ne sont plus là pour nous en parler.

À nous de voir à qui profitent ces deux attentats. 

Oscar Fortin

1 commentaire:

Annwn a dit...

Les deux « 11/9 » de la religion :
Judaïsme :
Le jour du Sabbat, les hommes suspendant tout travail avaient le loisir d’être tout à la Déesse aimée ; c’était le jour con-sacré. La Religion ainsi comprise était vraiment humaine et morale. En même temps, elle était simple comme toutes les conceptions féminines, sans apparat, sans exagération, sans rien de surnaturel. Le régime social qui en résultait était basé sur la justice intégrale, sur des mœurs pures, sur une vraie fraternité. Telle fut la forme de la primitive religion Israélite. Les sacerdotes lui substituèrent le Judaïsme, culte impie dans lequel la « Divinité unique » du Sépher est cachée dans le silence, couverte d’un voile mystérieux.
Le Sépher servit à faire le premier livre du Pentateuque, la Genèse biblique (qui en sera la caricature, une « père-version »). Une des femmes qu’on donne à Moïse s’appelle Séphora. C’est ironiquement, sans doute, qu’on lui donne comme nom le titre du livre de Myriam, le Sépher.
https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/delisraelismeaujudaisme.html
Christianisme :
Il manque à l’histoire des religions un grand chapitre : celui qui doit être consacré à l’origine réelle du Christianisme.
Cette science n’existe pas. Les vraies origines chrétiennes sont inconnues, et les Eglises diverses qui se rallient à ce titre ne désirent pas qu’on les connaisse.
René Guénon nous rappelle « l’obscurité presque impénétrable qui entoure tout ce qui se rapporte aux origines et aux premiers temps du Christianisme, obscurité telle que, si l’on y réfléchit bien, paraît ne pas pouvoir être simplement accidentelle et avoir été expressément voulue » (Aperçu sur l’ésotérisme chrétien).
L’histoire réelle du Christianisme n’a rien de commun avec le récit qui nous a été donné sous le nom de Nouveau Testament.
Derrière ce Livre, caché par lui, est l’histoire d’un mouvement de rénovation sociale, grandiose, extraordinaire, d’une haute portée, qui brilla sur le monde pendant deux ou trois siècles, mais qui fut renversé, dénaturé et caché par des faussaires qui en firent une caricature grotesque et voulurent avec cela dominer le monde.
Dans ce vaste réseau d’intrigues, que nous allons démasquer, presque toutes les personnalités ont été dénaturées. Le mensonge a triomphé et la réalité a disparu sous l’amas d’absurdités qu’on lui a substituées.
https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/originesethistoireduchristianisme.html