mardi 4 septembre 2012

L’IRAN, CELUI DONT NOS MÉDIAS NE PARLENT PAS




Un témoignage qui  révèle un autre visage de l’Iran

Je viens tout juste de découvrir un auteur, Gilles Lanneau, dont le peu que j’en ai lu m’a aussitôt conduit à en savoir davantage sur lui-même. J’ai trouvé, sur Google, une  référence qui nous révèle tout particulièrement l’homme et les expériences qui sous-tendent ses écrits. Je vous invite à lire cette entrevue qu’il accordait à Mina Fallah de la revue TEHERAN

Je me permets de partager avec vous un bref documentaire qu’il a lui-même réalisé sur l’Iran dont traite son dernier ouvrage « L’IRAN LE MENSONGE ». Il présente ainsi cet ouvrage :

« J'ai écrit ce livre dans l'urgence. Quelques minutes avant l'irréparable. En ce temps où notre monde bascule à toute allure dans un gouffre de non-sens, d'absurdité, où le mal se prend pour le bien et fait porter à celui-ci ses propres tares, j'ose élever une petite voix à contresens. Au tribunal de ce monde aux valeurs inversées, je plaide la cause de l'Axe du Mal et accuse l'Axe du Bien. » 

D’une durée de 00:12:45, vous y découvrirez un autre visage de l’Iran que nos médias se gardent bien de nous révéler.





C’est à Téhéran, en Iran, que les représentants des 120 États membres du Mouvement des non-alignés (MNA) se sont réunis, du 30 au 31 août dernier, à l’invitation des autorités iraniennes.


Ce Sommet comportait pour l’Iran plusieurs défis à relever dont celui d’attirer les principaux représentants des pays membres ainsi que les observateurs qui y participent habituellement.

Sur ce point, on peut dire que la réponse obtenue démontre que l’Iran n’est pas aussi isolé et menaçant que ses ennemis le laissent croire. La très grande majorité des pays ont répondu à l’appel : 29 chefs d’État et de gouvernement, 80 ministres des affaires extérieures et représentants des 120 États. À eux seuls, ils constituent les 2/3 de l’Assemblée générale des Nations Unies et représentent plus de 55 % de la population mondiale. Ce n’est pas pour rien que le Secrétaire général des Nations Unies s’est fait un devoir d’y assister en dépit des pressions venues d’Israël, des États-Unis et du Canada pour qu’il n’y aille pas.

Dans ce contexte, parler de communauté internationale, c’est inévitablement prendre en compte ce Mouvement des pays non-alignés. C’est cette communauté internationale, réunie à Téhéran, qui a apporté au peuple et au gouvernement syrien  un appui mettant en échec l’approche interventionniste du bloc impérial occidental.

« 2.4  La recherche sincère d’une solution à la crise syrienne passe par le respect de la volonté du peuple syrien, seul habilité à décider en toute indépendance de la composition de son gouvernement qui ne saurait arriver sur les chars des forces d’occupation… »


Oscar Fortin
Québec, le 4 septembre 2012

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