DE QUOI NOUS INTERPELLER COMME CE FUT LE CAS DU PEUPLE PALESTINIEN, lorsque Pilate LUI DEMANDA DE CHOISRI ENTRE JÉSUS ET BARABAS
Qui eût dit que le peuple Palestinien allait choisir Barabbas, le voleur, au détriment de Jésus de Nazareth ?
Cette référence à la passion de Jésus de Nazareth nous renvoie à cet Occident chrétien dont la foi prend ses racines dans cette histoire de ce Jésus de Nazaret, venu pour nous indiquer la voie à suivre pour que notre Humanité soit porteuse de paix, de vérité, de justice et de grande fraternité.
Politiciens et grands prêtres, ceux^là mêmes que Jésus avait sévèrement sermonnés, envoyèrent des leurs pour mobiliser le Peuple palestinien à voter pour Barabas.
Pour nous, de l’Occident, la Russie et la Chine nous ont toujours été présentés comme les grands promoteurs de guerres et de crimes commis contre l’Humanité. Qu’on nous dise aujourd’hui qu’ils sont devenus de grands promoteurs de paix pour l’Humanité, en laisse plusieurs sceptiques. Pourtant, les faits sont là pour nous en convaincre. Voyez par vous-mêmes :
Aujourd’hui, nous nous retrouvons, en cet Occident, avec un empire s’imposant au monde comme si Dieu le lui avait donné tous les pouvoirs. Cet Empire a un nom, « Les États Unis d’Amérique ». Il peut se permettre n’importe quoi et n’importe où. C’est ce qu’on qualifie d’un Empire « unipolaire ». Lui seul a le plein contrôle de tout. Les dernières décennies sont là pour témoigner de ce que peut être cet Empire qui domine notre monde. Pour quelque chose si les Peuples d'Orient et d'ailleurs s'élèvent pour dénoncer un tel empire qui prétend les dominer tous et toutes. Ce qui est le cas de la Russie, de la Chine, et de tous ceux qui les appuis. Voyez par vous-mêmes.
Nous avons devant nous les deux plus grands dirigeants du monde qui portent la responsabilité du destin de l'Humanité. Tous les deux se disent croyants en Jésus de Nazareth, Poutine avec l'Église orthodoxe et Biden, avec l'Église catholique. Le premier est bien soutenu par le Patriarche ortodoxe Kirill et le second se fait proche du Pape François.
Le Patriarche Kirill se porte à la défense du Président Poutine dont la responsabilité est d'assurer la sécurité du Peuple Russe et la défense de la population russe, présente en Ukraine et victime des attaques du gouvernement de Kiev, soumis aux ordres de Washington. Les accords de Minks n'auront été qu' une mascarade pour gagner du temps, selon la déclaration de Angela Merkel, une des participantes à ces négociations.
Le Pape François se porte à la défense de l’Ukraine, soumise aux directives de Biden et de l’OTAN. Il s’est toutefois senti obligé de donner suite à la volonté de la Vierge de Fatima, réclamant la consécration de la Russie à son cœur immaculé. Des papes, antérieurs, dont JP.!! firent diverses consécrations de la Vierge de Fatima, en contournant toutefois de mentionner la Russie, objet principal de sa requête. Le 5 mars 2022, le pape François a procédé à cette consécration de la Russie, en y ajoutant toutefois, l’Ukraine. Cette exigence de mentionner la Russie répondait à un rappel de sœur Lucie, une des voyantes de la Vierge de Fatima.
Dire que cette consécration de la Russie au coeur immaculée de la vierge de Fatima l'enthousiasmait serait mal le comprendre. Il l'a fait sous pression d'intervenants de divers milieux.
Maintenant que nous avons nos principaux intervenants, la mise à l'épreuve de leur "vérité" s'impose par elle-même.
Dans toute guerre, il y a des agresseurs, des manipulateurs, des profiteurs et des puissances inévitables .On dit, dans certains milieux que la victime de toutes les guerres est la VÉRITÉ . Jésus, en son temps sur notre terre s'est lui-même défini comme étant la voie, la vérité et la vie.
Les quatres personnages qui figurent au dessus de ce texte sont tous croyants en ce Jésus qui se réclame de la VÉRITÉ.
JE ME PERMET DE PARTAGER AVEC VOUS UN ARTICLE QUE JE TROUVE SPÉCIAL ET QUI A DE QUOI NOUS OUVRIR LES YEUX.
Rétablir la vérité : Ce que vous devez savoir sur l’Ukraine
Le 16 février 2022, une semaine entière avant que Poutine n’envoie des troupes de combat en Ukraine, l’armée ukrainienne a commencé à bombarder lourdement la zone (dans l’est de l’Ukraine) occupée principalement par des Russes ethniques. Des représentants de la mission d’observation de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) se trouvaient dans les environs à ce moment-là et ont consigné les bombardements au fur et à mesure qu’ils avaient lieu. L’OSCE a découvert que les bombardements se sont intensifiés de manière spectaculaire au fil de la semaine jusqu’à atteindre un pic le 19 février, date à laquelle 2026 tirs d’artillerie ont été enregistrés. N’oubliez pas que l’armée ukrainienne bombardait en fait des zones civiles le long de la ligne de contact, occupées par d’autres Ukrainiens.
Nous tenons à souligner que les représentants de l’OSCE ont agi dans le cadre de leurs fonctions professionnelles en recueillant des preuves de première main des bombardements dans la région. Ce que leurs données montrent, c’est que les forces ukrainiennes bombardaient et tuaient leur propre peuple. Tout cela a été documenté et n’a pas été contesté.
Donc, la question que nous devons tous nous poser est la suivante : Le bombardement et le massacre de son propre peuple constituent-ils un « acte de guerre » ?
« Remarquez la façon intelligente dont Reuters encadre sa couverture afin que les affirmations de l’armée ukrainienne bénéficient d’autant de crédibilité que celles du ministre russe des Affaires étrangères. Ce que Reuters omet de souligner, c’est que le rapport de l’OSCE vérifie la version des événements de Lavrov tout en réfutant les affirmations des Ukrainiens. C’est le travail d’un journaliste de faire la distinction entre les faits et la fiction, mais, une fois de plus, nous voyons comment les informations guidées par l’agenda ne sont pas destinées à informer mais à induire en erreur. » (Larry C. Johnson, A Son of a New Revolution)
Ce que nous essayons de faire comprendre est simple : La guerre en Ukraine n’a pas été lancée par un dirigeant russe tyrannique (Poutine) désireux de reconstruire l’Empire soviétique. Ce récit est une fraude qui a été concoctée par les spécialistes de la communication des néoconservateurs qui tentent d’obtenir le soutien du public pour une guerre contre la Russie. Les faits que je présente ici peuvent être identifiés sur une carte où les explosions réelles ont eu lieu et ont été enregistrées par des fonctionnaires dont le travail consistait à remplir cette tâche. Voyez-vous la différence entre les deux ? Dans un cas, l’intrigue repose sur des spéculations, des conjectures et du jargon psychologique, tandis que dans l’autre, l’intrigue est liée à des événements réels qui se sont déroulés sur le terrain et ont été répertoriés par des professionnels qualifiés dans ce domaine. Dans quelle version des événements avez-vous le plus confiance ?
En résumé : La Russie n’a pas commencé la guerre en Ukraine. C’est un faux récit. La responsabilité incombe à l’armée ukrainienne et à ses dirigeants à Kiev.
Voici un peu plus de contexte tiré d’un article de l’analyste de politique étrangère Danial Kovalik :
« Il faut commencer cette discussion en acceptant le fait qu’il y avait déjà une guerre qui se déroulait en Ukraine pendant les huit années précédant l’incursion militaire russe de février 2022. Et cette guerre menée par le gouvernement de Kiev (…) a coûté la vie à environ 14 000 personnes, dont de nombreux enfants, et en a déplacé environ 1,5 million d’autres. (…) Le gouvernement de Kiev, et en particulier ses bataillons néonazis, ont mené des attaques contre ces peuples (…) précisément en raison de leur appartenance ethnique. (…)
Si la Charte des Nations unies interdit les actes de guerre unilatéraux, elle prévoit également, à l’article 51, que « rien dans la présente Charte ne porte atteinte au droit naturel de légitime défense, individuelle ou collective… » Et ce droit de légitime défense a été interprété comme permettant aux pays de répondre, non seulement à des attaques armées réelles, mais aussi à la menace d’une attaque imminente.
À la lumière de ce qui précède, j’estime (…) que la Russie avait le droit d’agir dans le cadre de sa propre autodéfense en intervenant en Ukraine, qui était devenue un mandataire des États-Unis et de l’OTAN pour une attaque – non seulement contre les ethnies russes en Ukraine – mais aussi contre la Russie elle-même »3.
Les médias occidentaux ont-ils mentionné le fait que Poutine a invoqué l’article 51 de l’ONU avant de lancer l’opération militaire spéciale ?
Non, ils ne l’ont pas fait, car cela reviendrait à admettre que l’opération militaire de Poutine est conforme au droit international. Au lieu de cela, les médias continuent de diffuser la fiction selon laquelle « Hitler-Poutine essaie de reconstruire l’empire soviétique », une affirmation pour laquelle il n’existe pas la moindre preuve. N’oubliez pas que l’opération de Poutine n’implique pas le renversement d’un gouvernement étranger pour installer un larbin soutenu par Moscou, ni l’armement et l’entraînement d’une armée étrangère qui sera utilisée comme mandataire pour combattre un rival géopolitique, ni le bourrage d’un pays avec des armes de pointe pour atteindre ses propres objectifs stratégiques étroits, ni la perpétration d’actes terroristes de sabotage industriel (Nord Stream 2) pour empêcher l’intégration économique de l’Asie et de l’Europe. Non, Poutine ne s’est livré à aucune de ces activités. Mais Washington l’a certainement fait, car Washington n’est pas limité par le droit international. Aux yeux de Washington, le droit international n’est qu’un inconvénient dont on se moque dédaigneusement chaque fois qu’une action unilatérale est nécessaire. Mais Poutine est loin d’être aussi cavalier sur ces questions. En fait, il respecte depuis longtemps les règles parce qu’il estime que celles-ci contribuent à renforcer la sécurité de tous. Et, il a raison, c’est le cas.
Et c’est pourquoi il a invoqué l’article 51 avant d’envoyer des troupes pour aider les habitants du Donbass. Il estimait avoir l’obligation morale de leur prêter assistance, mais il voulait que ses actions soient conformes au droit international. Nous pensons qu’il a atteint les deux objectifs.
Le planificateur impérial américain George Kennan, architecte de la première guerre froide, a écrit en 1948 : « Nous possédons environ 50% des richesses du monde mais seulement 6,3% de sa population ». « Notre véritable tâche » est de « maintenir cette position de disparité ». @BenjaminNorton
Voici quelque chose d’autre que vous ne verrez jamais dans les médias occidentaux. Vous ne verrez jamais le texte réel des exigences de Poutine en matière de sécurité, qui ont été formulées deux mois avant que la guerre n’éclate. Et la raison pour laquelle vous ne les verrez pas, c’est que ses demandes étaient légitimes, raisonnables et nécessaires. Tout ce que Poutine voulait, c’était l’assurance que l’OTAN ne prévoyait pas d’installer ses bases, ses armées et ses sites de missiles à la frontière russe. En d’autres termes, il a fait ce que tous les dirigeants responsables font pour défendre la sécurité de leur propre peuple.
Voici quelques extraits critiques du texte de la proposition de Poutine aux États-Unis et à l’OTAN :
Article 1
Les parties coopèrent sur la base des principes de sécurité indivisible, égale et non diminuée et à ces fins :
n’entreprennent pas d’actions, ne participent pas à des activités ou ne soutiennent pas des activités qui affectent la sécurité de l’autre partie ;
ne mettent pas en œuvre les mesures de sécurité adoptées par chaque partie, individuellement ou dans le cadre d’une organisation internationale, d’une alliance ou d’une coalition militaire, qui pourraient porter atteinte aux intérêts fondamentaux de sécurité de l’autre partie.
Article 3
Les Parties n’utilisent pas le territoire d’autres États en vue de préparer ou de mener une attaque armée contre l’autre Partie ou d’autres actions portant atteinte aux intérêts fondamentaux de sécurité de l’autre Partie.
Article 4
Les États-Unis d’Amérique s’engagent à empêcher toute nouvelle expansion vers l’Est de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord et à refuser l’adhésion à l’Alliance aux États de l’ancienne Union des Républiques socialistes soviétiques.
Les États-Unis d’Amérique n’établiront pas de bases militaires sur le territoire des États de l’ancienne Union des Républiques socialistes soviétiques qui ne sont pas membres de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, n’utiliseront pas leur infrastructure pour des activités militaires quelconques et ne développeront pas de coopération militaire bilatérale avec eux.
Article 5
Les Parties s’abstiendront de déployer leurs forces armées et leurs armements, y compris dans le cadre d’organisations internationales, d’alliances ou de coalitions militaires, dans les zones où ce déploiement pourrait être perçu par l’autre Partie comme une menace pour sa sécurité nationale, à l’exception d’un tel déploiement sur le territoire national des Parties.
Les Parties s’abstiendront de faire voler des bombardiers lourds équipés d’armements nucléaires ou non nucléaires ou de déployer des navires de guerre de surface de quelque type que ce soit, y compris dans le cadre d’organisations internationales, d’alliances ou de coalitions militaires, dans les zones situées respectivement en dehors de l’espace aérien national et des eaux territoriales nationales, d’où ils peuvent attaquer des cibles sur le territoire de l’autre Partie.
Les parties maintiendront le dialogue et coopèreront pour améliorer les mécanismes visant à prévenir les activités militaires dangereuses en haute mer et au-dessus de celle-ci, notamment en convenant de la distance d’approche maximale entre les navires de guerre et les aéronefs.
Article 6
Les Parties s’engageront à ne pas déployer de missiles à portée intermédiaire et à plus courte portée lancés depuis le sol en dehors de leurs territoires nationaux, ainsi que dans les zones de leurs territoires nationaux, à partir desquelles ces armes peuvent attaquer des cibles sur le territoire national de l’autre Partie.
Article 7
Les Parties s’abstiendront de déployer des armes nucléaires en dehors de leurs territoires nationaux et ramèneront sur leurs territoires nationaux les armes déjà déployées en dehors de leurs territoires nationaux au moment de l’entrée en vigueur du Traité. Les Parties élimineront toute infrastructure existante pour le déploiement d’armes nucléaires en dehors de leurs territoires nationaux.
Les Parties ne formeront pas le personnel militaire et civil des pays non nucléaires à l’utilisation des armes nucléaires. Les Parties ne conduiront pas d’exercices ou d’entraînements pour les forces d’usage général, qui incluent des scénarios impliquant l’utilisation d’armes nucléaires.
Il ne faut pas être un génie pour comprendre ce qui inquiétait Poutine. Il s’inquiétait de l’expansion de l’OTAN et, en particulier, de l’émergence d’une alliance militaire hostile soutenue par des nazis formés par Washington et occupant un territoire sur son flanc ouest. Était-ce déraisonnable de sa part ? Aurait-il dû accepter ces russophobes soutenus par les États-Unis et leur permettre de placer leurs missiles à sa frontière ? Cela aurait-il été la chose la plus prudente à faire ?
Alors, que pouvons-nous déduire de la liste des exigences de Poutine ?
Tout d’abord, nous pouvons déduire qu’il n’essaie pas de reconstruire l’empire soviétique comme insiste inlassablement les médias. La liste se concentre exclusivement sur des demandes liées à la sécurité, rien d’autre.
Deuxièmement, cela prouve que la guerre aurait pu être facilement évitée si Zelensky avait simplement maintenu le statu quo et annoncé officiellement que l’Ukraine resterait neutre. En fait, Zelensky a accepté la neutralité lors de négociations avec Moscou en mars, mais Washington a empêché le président ukrainien d’aller jusqu’au bout de l’accord, ce qui signifie que l’administration Biden est largement responsable du conflit actuel. (RT a publié aujourd’hui un article indiquant clairement qu’un accord avait été conclu entre la Russie et l’Ukraine en mars, mais que cet accord avait été intentionnellement sabordé par les États-Unis et le Royaume-Uni. Washington voulait une guerre).
Troisièmement, cela montre que Poutine est un dirigeant raisonnable dont les exigences auraient dû être acceptées avec empressement. Était-il déraisonnable pour Poutine de demander que « les parties s’abstiennent de déployer leurs forces armées et… leurs alliances militaires… dans les zones où ce déploiement pourrait être perçu par l’autre partie comme une menace pour sa sécurité nationale » ? Était-il déraisonnable pour lui de demander que « les Parties éliminent toute infrastructure existante pour le déploiement d’armes nucléaires en dehors de leurs territoires nationaux » ?
Où sont exactement les « demandes déraisonnables » que Poutine a prétendument formulées ?
Il n’y en a pas. Poutine n’a fait aucune demande que les États-Unis n’auraient pas faite si « la chaussure était à l’autre pied ».
Quatrièmement, cela prouve que la guerre n’est pas une lutte pour la libération de l’Ukraine ou la démocratie. C’est de la foutaise. C’est une guerre qui vise à « affaiblir » la Russie et, à terme, à écarter Poutine du pouvoir. Ce sont les objectifs primordiaux. Cela signifie que les soldats ukrainiens ne meurent pas pour leur pays, mais pour le rêve élitiste d’étendre l’OTAN, d’écraser la Russie, d’encercler la Chine et d’étendre l’hégémonie des États-Unis pour un autre siècle. L’Ukraine n’est que le champ de bataille sur lequel se déroule la lutte des grandes puissances.
Il y a plusieurs points que nous essayons d’aborder dans cet article :
Qui a commencé la guerre ?
Réponse : l’Ukraine a commencé la guerre.
L’invasion russe était-elle une violation du droit international ?
Réponse : non, l’invasion russe devrait être approuvée en vertu de l’article 51 des Nations unies.
La guerre aurait-elle pu être évitée si l’Ukraine avait déclaré sa neutralité et avait répondu aux demandes raisonnables de Poutine ?
Réponse : oui, la guerre aurait pu être évitée.
Le dernier point concerne le traité de Minsk et la manière dont la malhonnêteté des dirigeants occidentaux va affecter le règlement final en Ukraine. Je suis convaincu que ni Washington ni les alliés de l’OTAN n’ont la moindre idée de la gravité des relations internationales qui ont été décimées par la trahison de Minsk. Dans un monde où les accords juridiquement contraignants peuvent être facilement écartés au nom de l’opportunisme politique, la seule façon de régler les différends est la force brute. Quelqu’un en Allemagne, en France ou à Washington a-t-il pensé à cela avant d’agir ? (Mais d’abord, un peu de contexte sur Minsk).
On ne saurait trop insister sur l’importance de la trahison de Minsk ou sur l’impact qu’elle aura sur le règlement final en Ukraine. Lorsque la confiance est perdue, les nations ne peuvent assurer leur sécurité que par la force brute. Cela signifie que la Russie doit étendre son périmètre aussi loin que nécessaire pour s’assurer qu’elle restera hors de portée de tir de l’ennemi. (Poutine, Lavrov et Medvedev ont déjà indiqué qu’ils avaient l’intention de faire exactement cela). Deuxièmement, le nouveau périmètre doit être fortifié en permanence par des troupes de combat et des armes létales maintenues en état d’alerte maximale. Lorsque les traités deviennent des véhicules pour l’opportunisme politique, les nations doivent accepter un état de guerre permanent. C’est le monde que Merkel, Hollande, Porochenko et les États-Unis ont créé en choisissant d’utiliser « la pierre angulaire des relations internationales » (les traités) pour promouvoir leurs propres objectifs bellicistes.
Nous nous demandons simplement si quelqu’un à Washington se rend compte de ce qu’ils ont fait ?
Pour qui veut vraiment connaitre la vérité et parler en vérité, il faut aller au delà de nos préjugés et reconnaitre les manipulateurs qui parlent selon leurs intérêts. À vous d'en tirer la conclusion.
Préambule: En janvier dernier, j'ai partagé avec vous la "Maison du Père", aux portes grandes ouvertes pour y recevoir cette famille humaine et fraternelle que nous formons.
Aujourd'hui, temps de carême, suivi de la passion et crucifixion de Jésus, faisant, par sa mort et résurrection, que notre Humanité échappe au pouvoir de "MAMMON", le père du mensonge et de la trahison.
Nous sommes de ceux et celles qui vivons dans ce monde , aux multiples facettes qui nous laissent, chaque jour qui passe, dans l'incertitude de notre destin. Nous n’échappons ni à la viellesse ni à MAMMON qui cherche par tous les moyens à s'approprier et dominer cette Humanité que nous formons. Il s'agit du combat du bien contre le mal, de Jésus contre Mammon.
Plusieurs en arrivent à se demander si cette terre et cette Humanité que nous formons trouvent encore de quoi justificier cette existence dans ce monde, dirigé par les ambitions des plus puissants. Que ce soit en Irak, en Syrie, en Lybie, en Ukraine, en Palestine, en Amérique Latine, en Afrique etc, l'Humanité est profondément en souffrance d'extinction. Les rêves d'Adam et Ève ont depuis longtemps disparus.
L'ALTERNATIVE: LE MYSTÈRE DE JÉSUS
Une telle situation humanitaire n’est pas sans nous diriger vers cette terre nouvelle et ce ciel nouveau dont nous parle l’apocalypse. Croyants ou pas, le destin qui nous attend tous et toutes, est ce retour de Jésus de Nazareth, le Ressuscité, à la tête de tous les humains que nous sommes.
Si nous regardons avec sérénité le monde dans lequel nous sommes, nous réaliserons que l’horloge apocalyptique de l’Humanité terrestre, a atteint les limites de sa survivance. Le Patriarche ortodoxe Kyrill de Moscou, déclarait, tout récemment, qu’advenant une attaque nucléaire, ce serait la fin de l’Humanité entière et je me permets d'ajouter: sur cette terre. Il n'est pas seul à élever la voix sur cette destruction qui s'attaque à l'Humanité entière. Tout récemment « L’horloge de la fin du monde, définie par le magazine américain Bulletin of the Atomic Scientists, a été déplacée à 90 secondes avant minuit.
C’est dans ce contexte que les Paroles de l’Apocalypse prennent toutes leur sens. Qu’on le veuille ou non, nous sommes de ceux et celles qui verront cette transformation de notre terre, en une terre nouvelle et en un ciel nouveau. L’Humanité qui nous enveloppera sera celle du Ressuscité, en la personne même de ce Jésus de Nazareth, établi par son Père pour nous ouvrir les portes de cette Humanité nouvelle et de ce ciel nouveau.
Et j`entendis du trône une forte voix qui disait: Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux.
Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n`y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.
Et celui qui était assis sur le trône, dit : voici, je fais toutes choses nouvelles. Puis il me dit : Ecris, car ces paroles sont véritables et certaines.
Conclusion
Seulement par la foi, ces vérités peuvent se comprendre et devenir source de grande espérance. Toute personne de "bonne foi", fidèle à sa conscience, reconnaitra, en l'histoire de ce Jésus de Nazareth, le grand mystère du renouvellement de l'Humanité dans un monde nouveau et une terre nouvelle. Ce qui nous est demandé à tous et à toutes, croyants ou pas, c'est d'agir en fonction de ce sur quoi nous serons tous et toutes jugées. Mathieu ch.25, verset 31-46 Vous en connaissez le contenu.
Lorsqu’en octobre dernier, je suis entré dans cette grande famille, aux multiples visages, riche de tout un vécu de vie dans divers pays du monde : Amérique latine, Afrique du nord et bien d’autres encore, je me suis dit : « ce que je vois est le plus beau symbole de la grande fraternité humaine, portée par une foi inébranlable, nourrie par la grande solidarité qui va au-delà des différences.
Je vois ces religieuses et religieux, d’âges avancés, se déplacer ici et là, avec le sourire et une grande paix qui leur donne vie et courage. Sur la photo, on y voit soeur Rose Ouellet, âgée de 98 ans. J’ai comme l’impression de me retrouver dans cette grande famille humaine où, frères, Pères, religieuses de diverses congrégations ainsi que laïques qui se côtoient, non pas, comme des étrangers et étrangères, mais bel et bien comme des frères et sœurs, d’une même et grande famille. À ne pas oublier ces hommes et ces femmes qui préparent les repas et ces autres qui assurent le service aux tables comme si nous étions de grands seigneurs.
Cette réalité me conduit à ce qu’est cette GRANDE MAISON DU PÈRE aux portes de laquelle nous nous retrouvons tous et toutes.
Le 2 décembre dernier j’ai écrit un texte, pour ma famille élargie, sur la Maison du Père. Pour ceux et celles qui ont internet, je vous en donne le lien :