« Udo Ulfkotte, un
ancien rédacteur en chef d’un des plus grands quotidiens allemands de grand
tirage Frankfurter Allgemeine Zeitung, admet qu’il a travaillé pour la CIA
et que le métier de journaliste
consiste à déformer l’information pour manipuler le peuple pour le compte des
gouvernements. »
Son
témoignage a de quoi nous faire réfléchir sur ce que nous transmettent nos médias
à travers des journalistes qui ont tout pour gagner notre confiance. Cette
grande tricherie qui nous éloigne chaque jour un peu plus de la vérité
transforme nos esprits en « pâte à modeler » avec lesquels ils
peuvent nous faire croire tout ce qu’ils veulent.
La vérité qui libère rend
invincible ceux qui en témoignent. Elle fait disparaître la peur et donne à
l’humain toute sa dignité.
Merci à Udo Ulfkotte pour
cette conversion à la vérité, ce qui l’honore au plus haut point. Véritable appel à
la conversion de la grande majorité de nos journalistes qui servent leurs maîtres
au détriment de la vérité.
Oscar Fortin
Québec, le 18 février 2015
Quelques références d’articles
récents sur la désinformation
Merci pour le lien vers l'article de Serge Charbonneau, je ne savais pas qu'il continuait à écrire des articles sur internet. Dommage qu'il ne tienne pas son propre blogue où il conserverait toutes les libertés qu'il revendique.
RépondreEffacerPour continuer dans la même veine que la vôtre, il y a aussi le cas Roger Auque, ancien correspondant de Radio-Canada au Moyen-Orient qui, dans son auto-biographie posthume, a avoué être un agent du Mossad israélien, de la CIA et des services secrets français :
http://www.mondialisation.ca/le-cas-roger-auque-journaliste-et-agent-du-mossad-interpelle-medias-et-journalistes/5432425
À noter que Radio-Canada n'a jamais évoqué ce sujet à propos de son ancien correspondant Roger Auque, ni sur Udo Ulfkotte d'ailleurs et pour cause, il est fort probable que certain de leurs correspondants actuels à l'étranger (Russie, Moyen-Orient, Amérique du Sud), aient emprunté la même voie. Je pense entre autre à Marie-Ève Bédard qui a été reçu avec tous les honneurs d'une héroïne au retour de son une ou deux semaines de propagande « otannienne » sur l'agression que subit la Syrie depuis quatre ans. J'ai toujours eu des soupçons sur l'énorme campagne de relation publique dans toutes les émissions d'affaire publique et de divertissement de Radio-Canada qui lui avait été accordé à l'époque. Comme si c'était de notoriété publique de nous faire un roman à l'eau de rose sur ses amourettes avec son caméraman lors de sa mission en Syrie… Ce sont des techniques bien connues de créer un attachement émotif et affectif avec leurs auditeurs-trices pour ajouter artificiellement de la crédibilité à ses interventions « journalistiques » à venir (et passées…).
Jean-Michel Leprince, correspondant (ou ancien correspondant?) de Radio-Canada pour l'Amérique latine, ne donne pas sa place. Il suffit de jeter un oeil à son parcours qui éveille immédiatement en moi des soupçons :
1973 à 1982 - Journaliste de Radio-Canada à montréal et Toronto
1982 à 1989 - Correspondant à Ottawa où il va chercher une « expertise » en affaires étrangères et à la défense.
1989 à 1994 - Correspondant à Washington
1994 à 1998 - Ouverture du bureau de Radio-Canada pour l'Amérique latine.
Je me souviens d'ailleurs d'un de ses articles « mémorable » publié sur le site internet de Radio-Canada en 2012 où il s'en était pris directement à vous, ainsi qu'à Serge Charbonneau et à Michel Collon d'Investig’Action en vous accusant, si ma mémoire est bonne, d'être des fanatiques inconditionnels d’Hugo Chavez et des chavistes. Cela m'avait renversé qu'on lui permette de tenir ce genre de propos sur le site internet de notre réseau d'information public.
Depuis ce temps, j'ai complètement délaissé les médias traditionnels au profit de sites d'opinion et d'information alternatifs. Je vous remercie encore et vous souhaite une longue vie et de continuer encore longtemps votre important travail de réinformation.