dimanche 22 février 2015

LA PROSTITUÉE DE L’APOCALYPSE





Le livre de l’Apocalypse est porteur de révélations présentées à travers des symboles et des images pas toujours faciles à comprendre. Il faut croire qu’elles sont là, comme des phares, pour nous guider sur cette longue route conduisant l’Humanité vers la fin des temps. Il est important de noter que cette fin des temps ne marque d’aucune manière la fin de l’Humanité. Tout au contraire, elle lui ouvre toute grande les portes d’un ciel nouveau et d’une terre nouvelle

« Et j`entendis du trône une forte voix qui disait : « Voici la maison de Dieu avec les hommes! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n`y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu. » Ap.21, 3-4

Nous n’en sommes évidemment pas encore là et les temps que nous vivons en ce début du 21e siècle nous plongent dans la tourmente des guerres, des famines, des ambitions de pouvoirs et de domination, du mensonge édifié sur le socle de la vérité. Tous ces évènements jettent un éclairage particulier sur ces révélations qui touchent particulièrement les derniers temps de cette longue histoire. Je voudrais m’arrêter, dans le présent texte, à cette prostituée et à cette Babylone dont nous parle l’Apocalypse au chapitre 17.

« Cette femme était vêtue de pourpre et d`écarlate, et parée d`or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d`or, remplie d`abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. » Ap.17, 4-5

Les historiens et exégètes ne s’entendent pas sur l’identification de cette prostituée pas plus que sur celle de cette Babylone. Il y a toutefois une tendance forte qui reconnaît, dans cette prostituée, l’Église de Rome. Sur cette question, je vous réfère à cette analyse.

Aux fins du présent article, j’aborderai ce sujet par le biais des deux pactes secrets  entre le Vatican et Washington, conclus, le premier, en juin 1982, et le second, en mars 2014. Dans une première partie, j’aborderai le Pacte signé en juin 1982 par le pape Jean-Paul II et le président Reagan. Dans une seconde partie, je traiterai du pacte signé entre le pape François et le président Obama.

Le Pacte du 7 juin 1982

Si nous pouvons en parler aujourd’hui, c’est qu’avec les années beaucoup d’éléments de son contenu en ont été révélés. Je me permets, pour en traiter, de citer de larges extraits d’un excellent article d’Eduardo Febbro qui en fait un bon résumé.

« Le premier pacte a été scellé le 7 juin 1982 dans la bibliothèque du Vatican entre l’ex-président étasunien Ronald Reagan et le pape de l’époque Jean Paul II. Ce pacte, connu sous le nom de “Sainte Alliance” doit son existence à l’un des personnages les plus sombres de la diplomatie du Vatican : Pio Laghi, ex-Nonce apostolique en Argentine (1974-1980) et artisan, dans les années 80, de la reprise des relations diplomatiques entre le Saint-Siège et Washington. Laghi était un homme de robe, ambiguë et à la main de fer, ami et protecteur de la Junte militaire argentine, réactionnaire et aveuglé par le spectre du communisme.

Le pacte Reagan/Jean Paul II avait un seul objectif : fomenter une cabale pour renverser le communisme, à n’importe quel prix. Richard Allen, premier conseiller de Reagan à la Sécurité nationale, dira qu’il s’agissait de “l’une des alliances les plus secrètes de tous les temps”

La Sainte Alliance conduisit à un montage financier frauduleux organisé par le Vatican pour épauler clandestinement le syndicat polonais Solidarnosc, dont le leader de l’époque, Lech Walesa, deviendra président de la Pologne après la chute du Mur de Berlin.
 Ronald Reagan et Jean-Paul II étaient habités par la même obsession. Le juge William P. Clark, autre conseiller de Reagan à la sécurité nationale (et aussi le plus influent), dira également que tous deux “partageaient les mêmes choix spirituels et la même vision de l’empire soviétique : le bien et le droit triompheraient selon les plans divins” (The Judge : William P. Clark, Ronald Reagan’s Top Hand, de Paul Kengor et Patricia Clarck Doerne, Ignatius Press 2007).
Quant à l’utilité du Vatican dans cette croisade anticommuniste, le secrétaire d’État de Reagan, Alexandre Haig, l’a très bien résumée : “Le réseau d’information du Vatican était meilleur et plus rapide que le nôtre”. Pour l’Amérique latine, cette Sainte Alliance fut synonyme d’un véritable bain de sang, de guerres et de répression. Le Saint-Siège poursuivit de façon inhumaine tout ce que le continent comptait de progressiste en soutane. S’appuyant, pour ce faire, sur les secteurs les plus réactionnaires de l’Église et du pouvoir politique local et avec la participation de la Maison Blanche, c’est sans aucune hésitation, non plus, qu’il s’est acoquiné avec des congrégations et des personnages impliqués dans des agressions sur mineurs ou des vols en tout genre, comme ce fut le cas avec « Les légionnaires du Christ », de Marcial Maciel, que Jean-Paul II éleva à des hauteurs incroyables alors même que ses escroqueries et abus sexuels étaient de notoriété publique. De nombreux adeptes de la « Théologie de la Libération » payèrent de leur vie une telle persécution.
La complicité entre le Vatican et Washington est parfaitement documentée, et reflétée jusque dans les discours officiels de Ronald Reagan :
“L’Amérique latine est une zone pour laquelle nous éprouvons une préoccupation commune. Nous voulons y travailler en étroite collaboration pour promouvoir la paix, la justice sociale, les réformes et empêcher la propagation de la répression et des régimes tyranniques athées.” (Ronald Reagan, Jack Nelson, “Reagan, Pope Join in Urgent Plea for Peace”, Los Angeles Times, June 8, 1982).

Monter ce dispositif anticommuniste éleva Jean-Paul II au rang d’interlocuteur privilégié des membres de la CIA et d’autres personnages de la sécurité nationale américaine qui allaient à Rome grâce à Pio Laghi. À partir du milieu 1981, une sorte de “navette de renseignements” (intelligence shuttle) s’instaura entre Washington et le Saint-Siège.

L’un des visiteurs réguliers de cette époque est aussi de triste mémoire pour l’Amérique latine, le général Vernon Walters, ambassadeur itinérant de l’administration Reagan, ex-directeur adjoint de la CIA à l’époque du Coup d’État contre Salvador Allende. Dans son livre « The Mighty and the Meek » (St Ermin’s Press, 2001), le général Walters révèle les dessous de ses entretiens papaux. “L’administration avait conscience de la collusion d’intérêts entre l’Église Catholique et les États-Unis dans leurs efforts pour contenir l’expansion communiste. Je devais, en accord avec les ordres reçus, exposer les faits en m’appuyant sur les meilleures sources d’information disponibles. C’est ainsi qu’ont débuté les allers-retours réguliers au Vatican, deux ou trois fois par an. (…) Je faisais au Pape le compte-rendu des menaces engendrées par les missiles, les forces terrestres conventionnelles, l’aviation et la marine soviétiques”. Mais les sujets de discussion allaient bien au-delà. Aux dires des journalistes Carl Bernstein et Marco Politi  (« His Holiness : John Paul II and the Hidden History of Our Time », Doubleday, 1996), les entretiens avec le Souverain Pontife portaient aussi sur l’Amérique Centrale, région, à cette époque, durement touchée par la guerre au Salvador, au Guatemala et au Nicaragua sandinistes, où Washington apportait son aide militaire aux “contras”. Pio Laghi, lors de sa mission en tant que délégué Apostolique aux États-Unis (1980), assistait régulièrement aux réunions de sécurité et rencontrait fréquemment le directeur de la CIA, William Casey, qui était catholique. (…) En juin 1982, alors que Reagan et Jean-Paul II célébraient leur Sainte Alliance, dans les sphères pontificales proches du secrétaire d’État du Saint-Siège, Agostino Casaroli, et l’archevêque Achille Silvestrini, négociait avec le secrétaire d’État US Alexandre Haig et avec le juge William Clark. »

Ce rôle, joué par l’Église à travers l’État du Vatican et tout particulièrement sous la direction du pape Jean-Paul II, en fait une candidate de premier plan pour occuper le poste de la prostituée de l’Apocalypse. On a évidemment célébré en grande pompe l’écroulement de l’ex-Union soviétique (URSS) ainsi que la démolition du mur de Berlin. Ce qu’on a moins célébré c’est cette porte toute grande ouverte aux États-Unis et à l’Empire pour occuper toute la place de la gouvernance du monde. D’un monde bipolaire, l’humanité passa à un monde unipolaire. La Babylone contemporaine, en bonne compagnie de l’Église, se retrouva le maître absolu du monde. Quoi de mieux, pour les puissants de ce monde qu’un monde unipolaire où règne un seul maître qui peut en tout temps décider de ce qui est bien et de ce qui est mal, ce dont G.W. Bush ne s’est pas privé de faire.

LE PACTE DU 21 MARS 2014

Toujours selon Eduardo Febbro, ce second pacte, entre le papa François et  le président Obama n’aurait rien à voir avec l’esprit et les orientations prises dans le cadre du pacte entre le pape J.P.II et Reagan. Il s’agirait d’un pacte de toute autre nature et d’une approche totalement différente du premier pacte.


« Les personnages de cette saga diplomatique des temps modernes n’ont pas grand-chose à voir avec les membres du sinistre dispositif mis en place par Reagan et Jean-Paul II dans les années 80. Les diplomates expérimentés de Rome conjuguent dorénavant leurs efforts de négociations secrètes avec les envoyés spéciaux de Cuba et divers conseillers de la nouvelle génération venus tout droit de Washington. Le spectre du communisme ne poursuit plus personne. La jeunesse a été également un allié de poids. Voici l’exemple de l’un des hommes clés de ce cercle restreint, Ricardo Zúñiga, nommé par Obama en 2012 conseiller aux Affaires latino-américaines à la place de Dan Restrepo. Né au Honduras, en 1970, Zúñiga émigre aux États-Unis à l’âge de quatre ans. L’autre pilier central est Ben Rhodes, vice conseiller à la Sécurité nationale pour les communications stratégiques et l’écriture de Discours, lui aussi jeune (il est né en 1977). Leurs interlocuteurs ont été des hommes expérimentés et plus âgés, par exemple le secrétaire d’État du Vatican, Pietro Parolin, qui avait été nonce au Vénézuéla de 2009 à 2013. »

Il ne fait pas de doute que l’approche soit différente et que les acteurs soient également de profils différents. Toutefois, de là à dire que le « spectre du communisme ne poursuit plus personne » m’apparaît plutôt discutable. Pour illustrer mon point de vue, je prendrai quelques exemples récents venant de la haute hiérarchie catholique.

Mon premier exemple, je le puise chez un personnage qui occupe de très hautes fonctions dans la hiérarchie et au Vatican. Il s’agit du cardinal Oscar Andres Rodriguez Maradiaga du Honduras, membre du G-9, groupe spécial pour conseiller le pape sur les réformes de la Curie, et président de Caritas international.

Déjà, nous savons qu’il a joué un rôle important dans le coup d’État militaire au Honduras qui renversa le président démocratiquement élu, Manuel Zelaya. Le Cardinal n’était pas d’accord avec ce dernier qui s’était trop rapproché de Chavez, de son socialisme et de l’ALBA. Sur l’ensemble de cette question, je vous réfère à cet article que j’avais alors écrit sur cette grande alliance.

Il est bon de noter que les interventions du cardinal MARADIAGA apparaissent comme un signal de départ à quelque chose qui va se produire. Sa conférence de presse à Berlin a devancé d’un mois le lancement des activités de déstabilisation du gouvernement de Nicolas Maduro. En janvier de cette année, il a de nouveau discrédité, dans une conférence sur les réformes au Vatican, Hugo Chavez et son socialisme du XXIe siècle perçu comme un véritable fiasco. Religion Digital

« Le président de Caritas International a rappelé que le défunt président du Venezuela, Hugo Chavez, s’était présenté avec la promesse de lutter contre la corruption ce qui lui valut de nombreux votes. Toutefois, ce projet a fracassé. Ce socialisme du XXIe siècle n’était rien de plus que du capitalisme déguisé au service de quelques grands voleurs. Cela a fait bien des dommages » (R.D).

Au sujet de la participation populaire à la gouvernance de l’État, comme c’est le cas dans les pays émergents de l’Amérique latine, il a ces paroles :

« Les populismes dont ils s’alimentent ne sont que des feux de paille. »

Quelques semaines plus tard, c’était au tour de l’Épiscopat du Venezuela de prendre la parole pour dénoncer le communisme, le marxisme, le socialisme, l’autoritarisme. Une condamnation en règle du gouvernement qu’il accuse d’être le responsable de la rareté des biens essentiels dans les centres de distribution. Sur ce point précis, je vous réfère à un article demandant aux évêques de se rétracter, la rareté des biens étant causée par les principaux distributeurs du pays qui retenaient ces biens dans des entrepôts pour créer le mécontentement de la population contre le gouvernement en vue de la préparation d’un coup d’État.

Comme par pur hasard, les actions de déstabilisation du gouvernement et de préparation à un coup d’État suivirent les déclarations de ces hommes d’Église. Le 12 février 2015, le gouvernement du Venezuela démonta un coup d’État qui devait se réaliser ce jour même. Encore ici, je vous réfère à cet article portant sur ce démantèlement.

Fait à noter : à aucun moment de toute cette guerre économique et de ce coup d’État démonté, le Vatican et l’épiscopat vénézuélien ne sont intervenus pour dénoncer les responsables oligarchiques pour leurs actions criminelles. Pas une fois, ils se sont excusés pour avoir mal interprété les évènements. Pas une fois, ils ont élevé la voix pour rappeler le respect de l’ordre constitutionnel et dénoncer les actions de violence.

Et que dire de leur silence devant ces politiques agressives et interventionnistes de Washington dans les affaires internes du Venezuela. Ils ignorent le support que le Venezuela reçoit de la part des divers organismes d’intégration de l’Amérique latine comme UNASUR, CELAC, ALBA, et de l’ensemble des pays non-alignés.

Pourquoi le Vatican se tait-il devant ces actions unilatérales des États-Unis dans les affaires internes du Venezuela? Dans pareille circonstance, ne devrait-il pas rappeler à cet État interventionniste le respect du droit international des peuples et des nations à disposer d’eux-mêmes. Également, une occasion pour rappeler que seules les Nations Unies ont autorité pour procéder à pareilles interventions et cela dans le cadre du droit international. Sur toutes ces questions, le Vatican se tait.

D’ailleurs, ce silence du Vatican, chaque fois que Washington est impliqué, peu importe l’endroit dans le monde, est devenu une règle d’or. Nous ne l’avons pas entendu sur l’usage arbitraire des  sanctions contre la Russie, pas plus d’ailleurs sur le non-respect des frontières syriennes où les avions militaires étasuniennes  entrent et sortent sans se soucier du gouvernement syrien.

CONCLUSION

Je pense qu’il faut, au nom de la transparence, que le pape François rende public le contenu de ces accords secrets. Il en va de la crédibilité de l’Église et du pape François. La catholicité de l’Église l’oblige à prendre en compte la totalité de l’humanité. Ce serait bien mal vu s’il fallait qu’elle soit, par des pactes secrets, de mèche avec l’empire du mensonge, de la guerre, des conquêtes. Une enquête récente établit que 90% des victimes de la guerre sont des civils, que sur 248 conflits, les États-Unis en ont provoqué 201. Il est plus qu’urgent que la lumière soit faite sur ces pactes secrets et que la transparence promise par le pape François franchisse ces dernières résistances.



Je viens de mettre en ligne un article faisant l’éloge du pape François et défendant le positif de ses engagements et de ses paroles. Je crois ce pape sincère, mais peut-être aussi un peu naïf, comme il le reconnaissait lui-même dans son entrevue à la Revue jésuite. Il ne peut toutefois pas ignorer que son entourage a des atomes crochus avec Washington et que le lobby de ce dernier est très actif au sein de l’État du Vatican.

Si le deuxième pacte nous est présenté à travers les bons offices du pape François qui a rendu possible la reprise des relations entre Cuba et les États-Unis ainsi que l’échange de prisonniers, cela ne peut suffire pour nous convaincre qu’il n’y a pas anguille sous roche dans la partie secrète du pacte.

Je termine ce trop long article par une dernière observation évoquée dans ce second pacte. Il s’agit de la lutte contre le terrorisme. Le Vatican ne peut pas s’engager dans une lutte contre le terrorisme sur la base de ce que l’empire décide lui-même ce qui est terrorisme et ce qui ne l’est pas. Il est important que l’Église se fasse une idée sur ce qu’est le terrorisme et ceux qui en sont la principale source.

Pour le moment, tout indique que la prostituée de l’Apocalypse est quelque part dans cet État du Vatican qui a main mise sur l’Église tout en ayant le cœur sur l’Empire, cette Babylone contemporaine.

Oscar Fortin
Le 21 février 2015

12 commentaires:

Anonyme a dit...

Merci !

Michaël Archange, le Prince des milices célestes, des Anges, des Êtres rédemptés de l’incarnation terrestre aussi, en provenance d’autres mondes, d’ailleurs ou d’ici, sont maintenant en présence innombrable aujourd’hui sur la terre comme dans le ciel autour de la terre, assistant attentivement, joyeusement, à l’élévation salvatrice finale de l’humanité vers une nouvelle terre et de nouveaux cieux.
Le Christ est la manifestation de la Lumière véritable en chaque homme, et nous assistons en première ligne, dans notre corps physique, à notre propre enfantement, à notre propre naissance en tant qu’Être christique.
Ce que le Christ a accompli il y a de ça 2000 ans, lors de sa résurrection, chaque homme est maintenant appelé à l’accomplir, à le Vivre, dans sa propre chair sur ce monde, aujourd’hui, et beaucoup d’hommes peuvent mêmes en ressentir en ce moment même les effets, qu’une Opération du Saint-Esprit Vibrale opère dans l’ensemble de leur corps physique et de leur cœur ; c’est la transsubstantiation de la matière solide en matière plus subtile et l’intégration d’un nouveau corps de Lumière pour chaque homme, car l’Homme Véritable Est la Lumière Elle-même.
Le Christ en tant que Principe hier, n’était ni plus ni moins que l’archétype ou la préfiguration de ce qui allait advenir pour chaque homme sur la terre dans son proche futur, et aujourd’hui nous sommes arrivé à cette résolution.
Il y a sur ce monde des forces qui choisiront plutôt de se maintenir encore pour un temps dans la matière dense de troisième dimension et d’y faire encore expérience pour un autre cycle, alors il en sera fait selon leurs choix, tandis que d’autres hommes choisiront plutôt de quitter la terre, de changer de plans ou de monde. Nous savons maintenant qu’il y a plusieurs demeures dans le royaume des cieux. Alors chaque UN trouvera sa véritable place dans la Création des Mondes.
Mais voilà, les forces d’en-bas ne veulent pas que l’homme quitte ce monde, car ils ont besoin de main-d’œuvre, d’esclaves, de chair à canon, pour assouvir leurs désirs, de pouvoir et de domination. Ils tentent alors de distraire l’homme pour empêcher le processus de transmutation et d’intégration de ce nouveau corps de Gloire. Mais leur tentative désespérée échouera !
Le communisme ne fut toujours qu’un prétexte pour tenter de détruire l’Orthodoxie Chrétienne de Russie, de Novorossiya, de Grèce, d’Italie, d’Espagne, du Portugal, de France, du Québec, du Mexique, d’Amérique Latine…etc., etc… Aujourd’hui, le prétexte à changer, c’est la démocratie, la lutte contre le terrorisme…etc., etc., tout est bon pour se justifier, et cacher leurs véritables intentions. S’il y avait un pacte, il irait probablement dans ce sens ! Détruire tout ce qui se rattache au Christ !

Bidi

Anonyme a dit...

J’ajouterai que même le prétexte de s’emparer des richesses naturelles de Russie, entre autres, est un faux-semblant, et qu’il cache une autre motivation beaucoup plus profonde. On peut observer, par exemple, que les groupes de mercenaires financés par l’empire détruisent systématiquement, inlassablement, partout où ils passent les temples saints, l’architecture, les artéfacts, la connaissance historique, les lieux de cultes, les centres culturels, les musées, la mémoire collective des différentes religions qui rappelleraient ou pourraient rappeler d’une manière ou d’une autre les véritables origines de l’homme sur ce monde et ses liens immémoriaux avec l’Univers et d’autres civilisations d’outre-tombe qui nous rattacheraient au passé où les hommes étaient encore reliées intimement avec l’au-delà et des civilisations d’outre-espace. L’homme ne vient pas du singe, il vient des étoiles !

Oscar Fortin a dit...

Anonyme et Bidi, merci pour votre commentaire.

Anonyme a dit...

L'anéantissement de Paris (contexte religieux)


Paris : capitale française, ville la plus touristique du monde, traversée par la Seine et hornée de lieux prestigieux tels que la Tour Eiffel et la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Voilà comment cette ville de plus de douze millions d’habitants (en incluant la pérphérie urbaine) apparaît aux yeux du monde entier. Pourtant, quand on y regarde de plus près, tout n’est pas merveilleux et utopique dans cette grande ville. C’est même loin d’être le cas, très loin !

Cette ville est souillée de crimes et de pêchés de toutes sortes, c’est la capitale de l’abomination et du désordre social, du chaos, de l’anarchie et de tant d’autres maux. Certains prophètes comparaient déjà à leur époque notre capitale à deux villes voisines de la Mer Morte évoquées dans la Genèse : Sodome et Gomorrhe.


Pour quelle raison ? Pour les inombrables crimes qui y sont commis et la terrible dégringolade des moeurs de ses habitants, mais pas seulement. Paris doit également connaître le même sort que ces deux villes du temps d’Abraham : la destruction par une pluie de feu venant de Dieu.




Effectivement, cela en fera sourire certains et paniquer d’autres, en particulier si vous habitez cette ville infâme. La destruction de Paris pourrait sembler improbable et inimaginable, mais pourtant c’est bel et bien ce qui doit arriver. Et cela n’arrivera pas à la Fin du Monde, mais bien avant, à la Fin des Temps pour être plus précis, c’est-à-dire la période dans laquelle nous sommes entrés depuis déjà un moment (il n’y a pas de datation précise, mais plusieurs signes indicateurs de l’entrée dans cette période sont déjà là comme le décès de Nelson Mandela et d’Ariel Sharon.


Autrement dit, cela se fera dans un futur proche mais sans doute dans un climat de guerre. En effet, la Troisième Guerre Mondiale aura probablement déjà débuté lorsque Paris sera réduite en cendres d’une seconde à l’autre. Ce qui me permet d’avancer cette hypothèse, c’est une prophétie (parmi tant d’autres, que vous découvrirez plus bas) qui annonce l’origine de ce feu céleste qui doit tout embraser. Si l’on en croit la prophétie, les Russes seront à l’origine de la destruction de la nouvelle Sodome (ou nouvelle Gomorrhe, si vous préférez …), et sachant que la prochaine guerre verra s’affronter deux blocs principaux bien distincts, à savoir l’Occident (Etats-Unis et Europe) et l’Orient (Pays arabes, Chine, Russie), il est donc fort probable que cela survienne lorsque la Russie aura déclaré la guerre aux Occidentaux avec le soutien de ses alliés islamistes. On peut donc conclure que Paris sera réduite à néans par des tirs nucléaires à cette époque.


Anonyme a dit...

Bien sûr, la guerre civile en France évoquée dans le précédent article concerne le début des troubles et précède elle-même ce conflit mondial qui nous attend. En d’autres termes, pas de Troisième Guerre Mondiale (et de Paris détruite) avant que plusieurs choses ne se soient accomplies, mais il y a déjà beaucoup de signes qui sont là comme je l’évoquais quelques lignes plus haut.


La Fin des Temps a donc bel et bien commencé et nous n’en sommes qu’au début, ils va donc falloir s’accrocher. Sans plus tarder, voici maintenant les prophéties qui concernent l’anéantissement de notre capitale :



Marie-Julie Jahenny (XIXème-XXème siècles) :


« Et toi, ville ingrate, murs souillés de crimes, pourquoi ne dites-vous pas aux bons : fuyez, fuyez, il est temps encore ? Et vous, pavés des rues, grains de sable qui formez les pavés, pourquoi ne vous levez-vous pas et ne prévenez-vous pas qu’il faudra prendre la fuite quand le tonnerre grondera sur un peuple en péril ? »


A travers cette extase, nous sommes avertis de la gravité de ce qui se prépare pour Paris. Les bons sont incités à fuir, en d’autres termes ceux qui auront écouté les prophéties et les avertissements devraient en tenir compte et quitter les lieux afin d’éviter une mort atroce et instantanée.


« Heureux, dit Saint Michel, ceux qui sauront abandonner ces murs et se réfugier loin de ce lieu pitoyable où les victimes s’amasseront en monceaux, où les places seront teintes de sang, comme de la pluie qui tombe dans l’orage.


Mes enfants, dit la Sainte Vierge, ce fléau est allumé sur cette grande ville que le ciel a en horreur. C’est de cette ville que sortira le souffle infect. Ses murs s’écrouleront, et les flammes dévoreront ce luxe et ces cœurs sans foi. Les pierres en seront jetées au loin, mais elle sera rebâtie. »


Cette prophétie résume bien ce que le Ciel pense de Paris en la qualifiant de « lieu pitoyable ». Une grande dévastation y est annoncée, c’est pourquoi ceux qui quitteront la ville avant la catastrophe seront soulagés d’avoir été épargnés.


« Mes enfants, il ne s’en échappera pas cent, non, pas cent au milieu de cette immense ville coupable… Comptez-en douze de moins, vous aurez le chiffre véritable. Jamais peine pour moi ne fut plus grande. »


Si l’on en croit cette prophétie, seuls quatre-vingt-huit personnes (cent moins douze) sortiront vivantes de Paris après que le feu céleste l’ait réduite à néant. Ce seront de grands miraculés, car survivre à une telle catastrophe relève quasiment de l’impossible.


« Mes enfants, une fois que cette société impure et impie aura toute sa liberté, le désordre s’étendra partout, surtout au cœur de cette ville ingrate. Depuis longtemps je préviens…


Les murs de cette ville ingrate seront ébranlés : ils enseveliront, sous leurs décombres, les cadavres impurs ; ils en engloutiront un grand nombre ».


C’est une autre extase qui nous prévient une fois de plus du sort de la ville de Paris et de la société ingrate qui l’occupera avant sa destruction, et qui périra avec la ville.


« Le feu du ciel tombera sur Sodome (Paris) et principalement sur cette salle de l’enfer où se fabriquent les mauvaises lois. Elle sera engloutie et sa place sera comme une immense carrière de laquelle, jusqu’à la fin du monde, on ne pourra s’approcher sans un frémissement d’horreur. »


Rien ne sera épargné lorsque le feu ravagera la capitale. Le Palais Bourbon qui abrite l’Assemblée Nationale, là où sont fabriquées les mauvaises lois, sera bien évidemment entièrement détruit. Il ne restera qu’un immense trou à la place de ce lieu maudit.


Anonyme a dit...

Maria Bordoni (XXème siècle) :


« Avertissez, je vous en supplie. Monseigneur, les évêques, les prêtres et toutes les communautés de veiller à tout cela et de se munir après cela d’habits de laïques pour prendre la fuite quand il le faudra pour éviter le massacre. Je ne sais pas l’époque, mais je puis donner un signe. Il y aura une mort à Paris, et le moment de cette mort sera le signal de la justice divine pour Paris et la France. De ce moment il faudra quitter Paris pour n’être pas massacré et consumé par les flammes. »


La mort d’un personnage, sans doute très important pour la France, constituera un prémisse à la destruction de Paris, nous dit la prophète. Il ne faudra pas tarder à fuir la capitale dès que la nouvelle de cette mort surviendra, si l’on veut échapper aux massacres et aux flammes pour ne pas sombrer avec les murs de Paris.


Saint Césaire, Archevêque d’Arles (Vème-VIème siècle) :


« Horrible cliquetis d’armes ! Le fer et le feu enserrent la Babylone de la Gaule qui tombe dans un grand incendie, noyée dans le sang. Puis la seconde ville du royaume et encore une autre sont détruites. »


Il est intéressant de constater que Paris ne sera pas l’unique ville que Dieu châtiera pour ses crimes. Deux autres connaîtront le même destin. Si l’on se réfère à d’autres prophéties, Marseille est censée finir sous les eaux suite à un grand séisme et la troisième ville en question pourrait être Bordeaux ou Toulouse, mais ce ne sont que des hypothèses.


Père Nectou (1760) :


« Durant ce bouleversement épouvantable qui, parait-il, sera général, et non pour la France seulement, Paris sera entièrement détruit, non sans qu’il y paraisse des signes qui mettront les bons à même de s’enfuir; et sa destruction sera si complète, que vingt ans après, les pères se promenant avec leurs enfants sur les ruines et répondant à leurs enfants leur diront : il y avait là une grande ville mais à cause de ses crimes, Dieu l’a détruite. »


Le bouleversement épouvantable évoqué au début qualifie sûrement la Révolution Universelle (et surtout la prochaine guerre mondiale) que le Monde s’apprête à connaître. Paris sera donc détruite à cette période, et des signes permettront aux bons de s’enfuir avant que la catastrophe ne survienne, ce qui rappelle la prophétie de Marie-Julie au sujet des bons qu’elle incite à fuir de Paris.


Marianne Gaultier (1804) :


« La grande prostituée sera détruite par le feu. Mais l’Ange du Seigneur avertira les justes de Paris. Personne ne saura d’où est venu le feu. Tous les mauvais périront. Les malheurs de la France seront si grands que plusieurs en mourront de frayeur. »


Un autre qualificatif pour Paris : grande prostituée, une métaphore tout à fait méritée. Les justes (ou les bons) seront avertis de l’imminence de la Colère Divine et le feu qui détruira la ville surprendra tout le monde, car on n’aura pas idée que cela puisse arriver. Les Russes auront donc préparé leurs plans en secret. La mortalité sera très élevée à cause de tout cela.


Correspondance Hohenlohe (1828) :


« Paris sera détruit. Le feu qui tomba sur Sodome et Gomorrhe tombera aussi sur cette ville; et pour la détruire, le ciel s’unira à la terre…. Pendant trois jours, Paris sera enseveli sous une pluie de soufre et on n’y verra plus que des précipices… Cette ville ne sera plus jamais rétablie. »


Paris sera rayée de la carte comme Sodome et Gomorrhe (voir l’introduction du présent article), et durant trois jours d’affilés, elle brûlera de toutes parts et son anéantissement sera total et définitif, puisque rien ne sera reconstruit sur ses ruines ensuite.


Anonyme a dit...

Prophétie Bretonne :


« Lorsque la terre tremblera et que le feu jaillira de ses flancs; quand Paris, la ville corrompue, sera fouillée comme une ruche; ce sera quand les chariots marcheront tout seuls… alors ce sera le temps prédit… Paris, la grande ville, avec tous les méchants qu’elle renferme, aura été engloutie dans l’enfer… »


Cette prophétie parle elle aussi de la destruction de Paris, ville corrompue engloutie dans l’enfer. Elle est comparée à une ruche à cause de sa grande population et l’invention des voitures est évoquée ici aussi.

Marie-Josèphe Levadoux (XIXème siècle) :


« Notre Seigneur me dit: «Avertis mon peuple, et s’il ne tient pas compte de mes avertissements, Je le frapperai comme j’ai frappé Sodome et Gomorrhe. J’ai vu Paris rempli de sang! Des monceaux de cadavres! J’ai vu aussi au milieu d’une vaste plaine noirâtre, une borne sur laquelle était écrit: Ici était Paris. »


Une énième description de ce qui attend Paris. Beaucoup de sang et de morts, une nouvelle comparaison avec Sodome et Gomorrhe. Un panneau indiquera plus tard que Paris se trouvait sur le champ de ruines noircies qui se trouvera désormais à sa place.


Marie Lataste (XIXème siècle) :


Le Seigneur lui aurait demandé de prier sans cesse pour la France, en précisant :


« Un jour, je vis l’Ange exterminateur planer sur la Grande Ville. Il me semble être dans une grande place de Paris. Au milieu de cette place, je vis un jeune homme sur une petite colonne. Il était revêtu d’une robe rouge, il portait un diadème sur la tête; il tenait son sabre dans le fourreau et un arc entre les mains. Ses regards étaient foudroyants et sa bouche prête à lancer des menaces. Je vis inscrit au-dessus de sa tête en caractères de feu: l’Ange exterminateur (…) Oh Paris! Ville exécrable, depuis longtemps tu as mérité mon indignation! (…) Tes habitants te maudiront un jour, car tu les as plongés dans ton atmosphère infecte, et même ceux à qui tu as donné refuge te jetteront des malédictions, car ils auront trouvé la mort en ton sein. »


L’Ange exterminateur représente ici le feu nucléaire des Russes qui sera à l’origine de la destruction de la capitale française. Il porte une robe rouge, signe du Communisme Russe (les racines de l’ex-Union Soviétique sont prêtes à se réveiller dès que la guerre surviendra, surtout avec le président belliqueux Vladimir Poutine) et un diadème, signe de puissance et de domination. Paris est vivement critiquée dans cette prophétie et on comprend que le sort qui lui est réservé semble largement mérité.

Prophétie d’Orval (1544) :


« Malheur à toi, grande ville! Prends garde aux rois armés par le Seigneur; mais déjà le feu t’a jeté à terre. Mais tes justes ne périront pas; car Dieu les a entendus. La place du crime est purgée par le feu; le grand courant a mené, rouge de sang, ses eaux jusqu’à la mer; la Gaule, qu’on croyait brisée en morceau, se rassemble et se réunifie. Dieu aime la paix. Viens, jeune prince; quitte l’île de la captivité; rejoins le lion à la fleur blanche. (…) Si prudent et sage sera le rejeton de la Cape qu’on croira Dieu être avec lui. »


L’anéantissement de Paris est inévitable mais les justes auront quitté la ville avant, grâce aux signes que Dieu leur enverra (ce qui rejoint les autres prophéties à ce sujet). Tout sera à feu et à sang, mais la France se relèvera malgré tout de ce grand bain de sang à l’aide du Grand Monarque évoqué dans cette prophétie.



Anonyme a dit...

Père Louis-Marie Pel (1945) :


« Les saisons n’existeront plus trois années au moins avant que la terre puisse redonner des herbes et de la végétation. Grande famine dans le monde entier.
Paris sera détruite par la Révolution et brûlée par des tirs atomiques des Russes depuis Orléans et la région de Provins. Tandis que Marseille et la Côte d’Azur s’écrouleront dans la mer. »


Sans doute l’une des prophéties les plus intéressantes de cet article. Les saisons n’existeront plus pendant au moins trois ans, il y aura une grande famine dans le monde et on a ici l’explication de l’origine du feu qui détruira Paris (que j’ai déjà évoqué plus haut) : les tirs atomiques des Russes depuis Orléans et ses alentours (qui sera sans doute occupée). Et j’en parlais également un peu plus haut, Marseille sera l’une des deux autres villes du pays qui sera châtiée. Elle s’effondrera dans la mer avec toute la Côte d’Azur.


La religieuse de Belley (1810) :


« Malheur ! Malheur ! Trois fois malheur à la cité de sang ! Malheur à la cité de l’hérésie ! Malheur à la cité du crime ! Les méchants veulent tout détruire ; leurs livres, leurs doctrines inondent le monde. Le jour de la justice est venu. Je vois à l’aspect de celui qu’on a méconnu, le monde fléchir et tomber.


Une femme l’a sauvé, une femme le suit. Un ministre du Très-Haut le soutient. Ce ministre vient d’être oint de l’huile sainte. Dieu les accompagne. Voilà votre Roi. Il paraît au milieu de la confusion de l’orage. Quel affreux moment ! Les bons, les méchants tombent. Babylone est réduite en cendres. Malheur à toi, ville maudite ! »



De Berguille :


« Que ces ténèbres sont épaisses, ô mon Dieu! Que ce feu est dévorant! Je vois tout consumé. Protégez ces pauvres enfants; ils étouffent au milieu des flammes. Oui, Paris est la plus coupable des villes. Malheureuse cité maudite. Un jour elle sera consumée jusqu’à la dernière pierre.


Malheur à ces diaboliques sociétés!… Je les vois, les misérables, ils accourent; quel affreux tumulte! Ville ingrate, elle n’est pas digne de prononcer le nom sacré de Jésus. Ville exécrable, tu veux nous mener aux abîmes.»


Marie Martel (1897) :


« La Sainte Vierge supplie les yeux tournés vers le ciel, et puis, se retournant vers moi, elle me dit : ‘Oh! Paris. Paris n’a pas respecté les lois de mon divin Fils…Il sera châtié et détruit par le feu… Il y aura peu de monde qui restera… ceux qui resteront ne se reconnaîtront pas … Paris sera détruit par le feu, s’il refuse de se convertir… voilà la punition qui lui est réservée! »


Saint Benoît-Joseph Labre :


« Paris sera détruit à cause de ses blasphèmes; une pierre n’y restera pas sur l’autre. »

Anonyme a dit...


L’Abbé Souffrand (1827) :


« Paris sera détruit, tellement détruit que la charrue y passera. Alors, entre le cri : « tout est perdu » et « tout est sauvé », il n’y aura pour ainsi dire pas d’intervalle. Dans ces événements, les bons n’auront rien à faire, car ce seront les Républicains qui se dévoreront entre eux. »


Voici maintenant quatre dernières prophéties, ce sont les plus longues de l’article, elles concernent toujours le même sujet : la destruction de Paris, ainsi que ses prémisses et conséquences. Elles sont explicites, c’est pourquoi je ne les commenterai que brièvement pour la plupart :



Religieuse de Chemillé (XIXème siècle) :


« C’était dans une grande ville; la foule allait et venait, mais dans tout ce monde, personne ne s’occupait de Dieu; tous ne pensaient qu’aux plaisirs sensuels. Soudain des ténèbres épouvantables couvrirent toute la terre; c’était comme une fumée brune, tirant sur la couleur du feu. Le gros nuage se divisa en quatre parties qui tombèrent à la fois sur la grande ville, et en un instant elle fut en feu. A ce spectacle terrifiant, la foule se mit à fuir comme pour sortir de la grande cité. Tout ce peuple était tellement épouvanté que les cheveux se dressaient sur la tête…Et alors un craquement que nulle langue ne peut rendre éclata. Personne ne saurait exprimer cet horrible fracas. Ces menaces regardent Paris. »


La société actuelle est bel et bien décrite ici : l’athéisme et la recherche du plaisir matériel et du confort à tout prix. C’est surtout à Paris que ce mauvais train de vie est à son apogée, c’est pourquoi elle sera réduite en cendres par un feu destructeur, qui ne manquera pas d’effrayer ses habitants.


« Le tonnerre grondait toujours dans les airs d’une manière effrayante lorsque j’entendis une voix qui me dit: «Ne crains pas! Mon courroux tombera sur ceux qui ont allumé ma colère ; ils disparaîtront dans un moment. Tout l’univers sera étonné d’apprendre la destruction de la plus belle, de la plus superbe ville! Je dis: superbe, par ses crimes; car je l’ai en abomination; c’est cette maudite Babylone qui s’est enivrée du sang de mes saints; elle veut encore le verser… Elle mettra le comble à ses horribles forfaits; et moi je lui ferai boire le vin de ma colère; tous les maux tomberont à la fois sur elle dans un seul instant (…) Les flammes qui la dévoraient s’élevèrent dans les airs; et de suite je ne vis plus rien qu’une vaste terre, noire comme du charbon. »


La disparition de la capitale française étonnera le monde entier, d’autant plus que cela arrivera soudainement et en un instant, sans qu’on s’y attende. Ce qui explique la très grande mortalité qui en résultera. Une fois détruite, il ne restera plus qu’un vaste champ deruines noircies, tout comme l’ont annoncé d’autres prophètes (voir plus haut).


Anonyme a dit...

Marie des Terreaux (1832) :


« L’année qui précédera celle du grand événement sera très mauvaise. L’année au contraire où il aura lieu offrira une récolte magnifique, mais il ne restera pas assez de monde pour en consommer l’abondance.


À l’approche de ce grand événement, des phénomènes extraordinaires paraîtront dans le ciel. Un grand personnage se convertira à Paris. »



« Au moment où la France sera châtiée d’une manière terrible, tout l’univers le sera aussi. On ne m’a pas dit comment. Il m’a été annoncé qu’il y aurait un événement effrayant, que ceux qui n’en auraient pas été prévenus, croiraient toucher à leur dernière heure et penseraient être à la fin du monde. (…) Les choses qui doivent arriver seront une image de celles de la fin du monde ; elles seront si terribles qu’il y aura de quoi sécher de frayeur. Il m’a été dit : « Tous ceux qui sont pour Moi ne périront pas, ne périront pas, ne périront pas. » Mais, ai-je répliqué, il est impossible qu’il n’y ait pas quelques bons qui périssent. Il m’a été répondu : « Oui, il pourra y avoir quelques victimes, mais elles ne seront pas perdues pour Moi. » »


« Paris sera réduit comme Sodome et Gomorrhe et ce qui restera de ses habitants se réfugiera en grande partie à Lyon. Quand on verra leur fuite, le grand événement sera proche. »


Lyon sera le refuge de ceux qui auront échappé de justesse à la mort dans Paris, car ils auront été avertis par le Ciel de l’imminence de l’événement.


Je finirai avec les visions de Mélanie Calvat, qui sont assez troublantes et précises dans les détails qu’elles nous transmettent :


Mélanie Calvat (La Salette) :


« Paris sera un jour effacé. »


Comme cette annonce verbale souvent réitérée ne suffisait pas, elle avait recours encore à un procédé plus étrange, destiné à piquer davantage l’attention. Elle écrivait souvent ces trois lettres : ‘PSB’, ce qui veut dire : « Paris sera brûlée ».


En 1896, elle écrivait : « Voyez-vous la Seine? Si vous saviez combien de gens y seront jetés! Mais le plus grand nombre viendront s’y jeter, tout affolés, fuyant le feu qui sera comme suspendu au-dessus de la ville. Ils s’y jetteront comme fous de terreur, croyant éviter ainsi le feu menaçant. »


Comme l’abbé Rigaux, revenant de La Salette avec Mélanie, traversait Paris en voiture avec elle, de la gare de Lyon à la gare du Nord, elle lui dit, en désignant la rive droite : «Tout ce que vous voyez de ce côté là-bas sera rouge. Tout cela brûlera. Les flammes s’arrêteront à peu près là. » Elle montrait le canal Saint-Martin.


Alors l’abbé Rigaux : « Mais pourtant, c’est un mauvais quartier celui-ci. »

Et Mélanie: « Ces maisons seront vides car les habitants seront partis dans les quartiers riches pour piller, avec des draps. »


Passant devant la statue de la République, elle ajouta: « La gueuse! Elle ne sera pas fière quand Paris brûlera en ce jour-là. »


« Oui, précisa une autre fois Mélanie, il foudroiera certains points, le Palais Bourbon quatre-vingts fois en une seconde. »

« Et les députés, s’écria l’abbé Rigaux, seront-ils dans l’enceinte? »

«Vous êtes bien curieux! Eh bien oui, ils seront suffoqués, morts grillés. »


Mélanie a vu la population s’efforcer de fuir Paris : « des désordres inexprimables » et d’indiquer: « On sortira le premier jour, le deuxième jour avec grand’peine, le troisième jour on ne pourra plus. Même les conducteurs de voitures qui s’insulteront, blasphémeront, seront pris dans la même souricière. Le tout dans «une fumée asphyxiante. »


Et Mélanie disait à l’abbé Rigaux, son confesseur et père spirituel, curé d’Argoeuves en Somme, mort à un âge très avancé en 1896 : « Paris sera brûlé par sa canaille. »





Anonyme a dit...

Voilà donc pour les prophéties qui concernent la fin atroce que Paris subira dans un avenir qui n’est pas si éloigné. La Justice Divine ne peut plus attendre, nous avons déjà trop abusé de la patience du Créateur et il est bientôt l’heure de payer pour tout le Mal commis sur cette planète. C’est notre génération qui a été choisie pour vivre cela, nous les Hommes du XXIème siècle, et l’entrée dans une nouvelle ère de prospérité n’est pas loin, c’est pourquoi il est inutile de souhaiter que tout cela n’arrive pas et de penser que le Monde peut s’en sortir sans passer par une grande purification. Car si le Ciel n’intervenait pas, jusqu’où le Monde irait-il ? Sa chute infernale vers l’abîme ne cesserait-elle donc que lorsque l’Homme parviendrait, accidentellement ou non, à s’auto-détruire totalement ? Nous avons encore une chance pour réformer le Monde et pour ne plus s’égarer comme nous l’avons fait, donc saisissons-la.


De nombreux pays connaîtront de grands malheurs, la France sera la première comme vous le savez, mais pas la seule. Déjà maintenant, beaucoup de pays sont secoués par des problèmes divers, mais la Révolution n’a pas encore tout à fait commencé cependant, bien que la Fin des Temps soit déjà là quant à elle. Paris, Marseille, et tant d’autres villes connaîtront le même sort lorsque leur heure sera venue ! Sachez que selon des prophéties qui n’ont pas été citées dans ce blog pour le moment, Los Angeles et San Francisco sont menacées de destruction par un séisme, le fameux « Big One » tant redouté en Californie. New York sera elle aussi détruite par un raz-de-marée gigantesque. Et Rome aussi, bien entendu, qui finira par s’effondrer dans tous les sens du terme. Beaucoup de malheurs à l’horizon, oui, mais pour aboutir à un Bien durable. En attendant, mieux vaut profiter de ces derniers instants de « fausse paix », et se préparer au pire qui est encore devant nous …

https://letempledespropheties.wordpress.com/2013/07/25/178/

Anonyme a dit...


En Irak, des jihadistes de l’État islamique détruisent des sculptures pré-islamiques
by Z



Dire que l'Irak était un des pays les plus civilisés et cultivé d'orient avant que l'empire ne s'occupe de son cas : ils ont renvoyé ce pays au moyen age, et c'est pathétique . Z .

Des jihadistes ont détruit en miettes des statues, frises et autres objets pré-islamiques du musée de Mossoul, dans le nord de l'Irak, selon une vidéo mise en ligne jeudi par le groupe Etat islamique.

Le petit film de cinq minutes montre des activistes de l'EI en train de faire tomber des statues de leur piédestal et de détruire à coups de masse. Dans une autre scène, ils ont également recours à un perforateur pour défigurer un imposant taureau ailé assyrien, sur un site archéologique de Mossoul, ville contrôlée par les jihadistes depuis l'été.

"Fidèles musulmans, ces artefacts derrière moi sont des idoles pour les peuples d'autrefois qui les adoraient au lieu d'adorer Dieu", déclare un jihadiste en s'adressant à la caméra. "Le soi-disant Assyriens, Akkadiens et d'autres peuples avaient des dieux pour la pluie, pour les cultures, pour la guerre", poursuit-il, avant de rappeler que "le prophète (Mahomet NDLR) a ôté et enterré les idoles à la Mecque".

http://api.dmcloud.net/player/embed/4e7344c194a6f677b000072a/54ef323406361d3da5baea8a/49716d9a9c804810920b9884e739c489?exported=1

Des pièces datant de plusieurs siècles avant l'ère chrétienne

Selon des experts, les pièces dont on voit la destruction sur la vidéo comprennent des originaux, des reconstitutions autour de fragments et des copies. Beaucoup proviennent des ères assyriennes et parthiennes, datant de plusieurs siècles avant l'ère chrétienne.

"C'est une tragédie, a déploré sur Lefigaro.fr Sophie Makariou, qui dirige le musée Guimet des Arts asiatiques à Paris. Soyons heureux que nos musées conservent des témoignages de ces civilisations disparues, au rang desquelles il faut compter le vieil Islam dont il ne reste rien."

Les Assyriens d'Irak sont désormais une minorité ayant embrassé la foi chrétienne et se considérant comme les habitants autochtones de la région. Plusieurs villages assyriens ont été conquis par l'EI en Syrie voisine ces derniers jours, et au moins 220 Assyriens capturés lors de cette offensive.

Les jihadistes contrôlent Mossoul, la deuxième ville d'Irak, depuis une offensive lancée début juin au cours de laquelle ils ont conquis de large pans du territoire irakien. Ils ont systématiquement pris pour cibles les minorités dans la ville et ses alentours, et détruit le patrimoine archéologique, déclenchant une vague d’indignation internationale. Début février, les jihadistes avaient ainsi déjà brûlé près de 2000 livres et manuscrits et détruit des œuvres datant de plus de 7000 ans.

http://www.huffingtonpost.fr/2015/02/26/etat-islamique-sculptures-destruction-art-irak-video_n_6762098.html


Z | 27 février 2015 à 3:37 | Tags: DAECH, détruisent, De L'Etat, des jihadistes, des sculptures, Irak, islamique, pré-islamiques | Catégories: général, Insolite, International, Politique, Religion | URL: http://wp.me/p3iARj-ikS